Par déduction, cette affirmation prétend que tous les chrétiens ont commis un suicide intellectuel ; ce sont des personnes naïves, candides et incapables de penser par elles- mêmes. Cela devrait donc inclure des chrétiens tels que le grand astronome Johannes Kepler (1571-1630) dont les trajectoires dans l’espace sont calculées aujourd’hui sur la base de ses trois lois du mouvement des planètes. Pourtant, il s’est écrié : « Toi, mon âme, loue ton créateur ! C’est pour lui et en lui que tout existe. »
À celui de Kepler, nous pourrions ajouter d’autres scientifiques éminents tels que Galilée et Isaac Newton qui croyaient en Dieu et faisaient confiance en la Bible. Michael Faraday (1791-1867), considéré comme l’un des plus grands physiciens de tous les temps, prêchait régulièrement l’Évangile. Edward Jenner (né le 17 mai 1749), inventeur de la vaccination, et fondateur de l’immunologie a dit : « Je ne demande pas que les hommes me soient reconnaissants, mais je suis surpris qu’ils ne soient pas reconnaissants à Dieu d’avoir fait de moi un intermédiaire du bien. » Sir James Young Simpson (1811- 1870), qui a découvert le chloroforme, déclara lors d’un rassemblement public que la plus grande découverte qu’il ait jamais faite était « que j’ai un Sauveur ». James Clerk Maxwell (1831-1879) ne reçut des éloges de nul autre que d’Albert Einstein. Einstein déclara que l’œuvre de Maxwell était « la plus profonde et la plus riche que la physique ait connue depuis le temps de Newton ». Maxwell professa jusqu’à la fin de sa vie une foi ferme dans la vérité de la Bible. John Ambrose Fleming (1849-1945), l’inventeur du tube électronique, souvent appelé le père de l’électronique moderne, déclara :
« Il y a de nombreuses preuves qui établissent que la Bible n’est pas le produit de la pensée humaine, bien qu’écrite par les hommes. elle a toujours été respectée par d’innombrables personnes comme étant un message du Créateur de l’univers pour nous. »
John Ambrose Fleming1
Steve Taylor est actuellement Professeur physicien à l’université de Liverpool, Angleterre. Je lui ai demandé si devenir chrétien était un suicide intellectuel. Voici ce qu’il m’a répondu :
« Beaucoup des plus grands scientifiques du monde ont été des chrétiens convaincus de la véracité de la Bible. Dans ma propre discipline de génie électrique, il suffit de penser à des noms tels que Michael Faraday, James Joule, Lord Kelvin, et James Clerk Maxwell pour voir que c’est vrai.
Je suis devenu chrétien à l’âge de 16 ans en cherchant le pardon pour mes péchés et en confiant ma vie au seigneur Jésus-Christ dans une simple prière. Plusieurs années plus tard, je suis plus que jamais convaincu non seulement de la véracité de l’Évangile, mais aussi de l’harmonie qui existe entre la révélation biblique et la vraie science. »
Il est vrai que pour chaque scientifique qui est chrétien, il existe des douzaines de scientifiques qui ne le sont pas. Mais cela est vrai pour toute autre profession. La capacité intellectuelle, qu’un homme soit un grand scientifique ou un modeste manutentionnaire, n’a rien à voir avec le fait d’être chrétien. Une personne peut avoir la plus grande faculté intellectuelle sans que cela entre en conflit avec sa foi chrétienne. Nous ne commettons pas du tout un suicide intellectuel en croyant en Christ ou à la véracité de la Bible.
« Lorsque j’ai commencé ma carrière comme cosmologiste, il y a à peu près vingt ans de cela, j’étais un athée convaincu. Je n’aurais jamais imaginé dans mes rêves les plus fous qu’un jour j’écrirais un livre qui a pour but de montrer que les déclarations centrales de la théologie judéo-chrétienne sont en fait vraies, que ces déclarations sont des déductions franches et directes des lois de Physique comme nous les comprenons maintenant. J’ai été forcé à arriver à ces conclusions par la logique inexorable de ma propre spécialité en Physique. »
Dr. Frank tipler2
- (1849-1945), l’inventeur du tube électronique, souvent appelé le père de l’électronique moderne
- Auteur, Professeur de physique mathématique à l’Université de Tulane, Professeur principal du département de recherche à l’Université d’Oxford (1979) ; The Physics of immortality (La Physique de l’immortalité), 1994, Préface.