L’évolution n’a-t-elle pas enterré la foi en Dieu ?

As-tu le souvenir d’une explosion ayant produit de l’ordre ? La bombe d’un terroriste produit-elle quelque chose d’harmonieux ? Des big-bangs ne sortent que du chaos. Un Big-Bang pourrait-il produire une rose, ou des pommiers, des poissons, des couchers de soleil, des saisons, des colibris, des ours polaires – ou les milliers d’oiseaux et d’animaux de la terre, chacun avec leurs propres caractéristiques précises pour les yeux, le nez et la bouche ?

Pour les spécialistes, le second principe de la thermodynamique prouve que l’organisation ne peut découler du chaos. Un organisme vivant et complexe ne peut se réarranger de lui-même en un organisme d’une forme plus évoluée (au sens de l’ordre) comme l’affirment pourtant les évolutionnistes. Scientifiquement, c’est en contradiction avec le second principe de la thermodynamique, que personne n’a remis en cause à ce jour.

Lors du 200ème anniversaire de la naissance de Charles Darwin, un athée célèbre, Professeur d’Université, fut l’invité d’un programme radio. Il expliqua pourquoi il croyait que l’évolution rendait superflue la croyance en un Dieu. Les auditeurs semblaient tous accepter ce que ce professeur affirmait jusqu’à ce qu’un homme lui pose trois questions simples auquelles le professeur sut répondre :

  1. Vous affirmez croire au « big bang »… Qu’est-ce qui a fait « bang » ?
  2. Comment la non-vie a-t-elle produit la vie ?
  3. Puisque vous n’étiez pas présent à l’origine du monde, comment savez-vous ce qui s’est passé ?

Il chercha à éviter de montrer qu’en fait il admettait ce qu’un autre athée célèbre avait déclaré: « Nous n’avons pas besoin de preuves. Nous savons que c’est vrai. »

Mais réfléchis donc : ce n’est pas bien difficile de comprendre qu’il a toujours dû y avoir quelque chose, étant donné qu’une chose ne peut provenir de rien. Et puisqu’il n’y a jamais eu un temps où il n’y avait rien, qu’est-ce qui existait alors lorsque le temps et la matière n’étaient point encore ?

Le bon sens conduit au fait que si l’on n’a rien, rien ne se passera. C’est contraire à tout raisonnement normal et à toute loi scientifique de croire que l’univers (avec toutes ses lois) est sorti du néant. Autant croire ou espérer qu’un compte bancaire vide se remplisse soudainement, et de lui-même, de milliards de dollars.

Si nous acceptons que l’univers et tout ce qu’il contient provient de rien (et aussi de nulle part), alors nous sommes tenus de poursuivre ce raisonnement jusqu’à sa conclusion logique : non seulement toute la matière physique de l’univers, mais aussi tout le reste résultent de rien. Nous devons de ce fait accepter que le « rien » (qui n’a ni pensée, ni morale, ni conscience ni vie) a créé la vie, la raison et la logique, la compréhension et l’entendement, les codes d’éthique complexes et les systèmes législatifs, le sens du bien et du mal, les arts (la musique, les drames, les comédies, la littérature et la danse), la croyance en un Dieu. Et ce n’est là que quelques- unes des implications philosophiques résultant de l’hypothèse d’un « big bang ».

C’était le fameux scientifique créationniste français, Pasteur, qui a fourni la première preuve que les êtres vivants ne sont pas fabriqués à partir de matière non vivante.

Au cœur de l’athéisme, se trouve l’orgueil de l’homme. En chacun de nous, quelque chose refuse profondément d’accepter qu’il existe un Être qui nous est supérieur. Nous voulons tout contrôler dans notre vie. Un vrai scientifique, comme  toute  autre  personne,  saura  admettre  ses  propres faiblesses et ses limites comme l’a déclaré ainsi un savant :

« Nous ne comprenons même pas comment se  forme  une seule étoile, et pourtant nous essayons d’élucider la formation de dix milliards. » Je me rappelle avoir lu une fois sous la plume d’un athée : « Nous ne croyons pas en l’évolution parce que ses preuves sont tellement évidentes, mais plutôt parce que l’alternative est impensable. »

 

« Je suis persuadé que les hommes pensent que Dieu n’existe pas parce qu’ils souhaitent qu’il n’y ait pas de Dieu. Ils trouvent que c’est difficile de croire en Dieu et de continuer à pécher, alors ils essaient de soulager leur conscience en niant Son existence. » – Charles H. Spurgeon (1834-1892)

Le pari de Blaise Pascal…

« Que peut perdre celui qui a choisi de devenir chrétien ? Si, quand il meurt, il découvre qu’il n’y a pas de Dieu et que sa foi est vaine, il n’a rien perdu – en fait il a été plus heureux dans la vie que ses amis non chrétiens. Si, par contre, il y a un Dieu, un ciel et un enfer, alors il a gagné le ciel et ses amis sceptiques ont tout perdu en enfer. »

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